Meiko ouvre les yeux et pleure. Le bébé né en cette nuit froide du onze octobre dans une petite ferme à froid, car un courant d’air traverse la petite pièce dans laquelle elle vient de venir au monde. En plus les hommes qui la tienne lui fond mal, elle bouge ses bras et ses pieds pour qu’ils la lâche. Les hommes bizarres finissent par la déposer dans les bras d’une femme essoufflé. La petite fille arrête de pleurer et regarde cette femme avec curiosité, c’est alors que la belle femme blonde lui sourit avant de lui parler d’une voix douce :
-Bonjour Meiko, je suis ta mère.
Le nourrisson est encore trop petit pour comprendre le sens de ses mots, cependant il comprend que cette femme ne lui fera pas de mal. La fillette baille et agrippe la jolie dame avant de se laisser aller dans les bras de Morphée paisiblement.
Quelques années plus tard, la jeune Meiko a bien grandit. C’est une adorable fillette blonde aux yeux bleus que ses parents –Ruka et Aku Megurine – chérissent. La vie de la jeune fille est magnifique. Elle vit dans une ferme où elle passe des heures à jouer avec les animaux qu’élèvent ses parents. Elle a toujours ce qu’elle désire, ce qui est facile, car à part pour la nourriture Meiko n’est pas capricieuse. Rien ne semble pouvoir détruire la bulle de bonheur dans laquelle vive la famille Megurine.
Meiko est en ville, cherchant un cadeau pour l'anniversaire de mariage de ses parents. Mais elle n'arrive pas à se concentrer, car depuis un moment déjà une voiture semble la suivre. Elle regarde vers la voiture rapidement et frisonne, avant d'accélérer pour aller dans une rue un peu plus peuplé. Malheureusement la voiture accélère aussi et un homme sort ses bras de la voiture pour l'attraper. Meiko tente de se débattre en sentant des bras musclé l'attraper, mais c'est trop l'homme a déjà posé sur ses lèvres un foulard imbibé de chloroforme. Elle plonge rapidement dans un profond sommeil.
La jeune femme se réveille des heures plus tard une immense cage doré -au sens propre du terme - sur un lit ancien et dans des draps de soies. Elle tente de se lever, mais des chaînes l'empêchent de bouger, elle hurle voulant sortir. Alors, un vieil homme arriver, un sourire sadique accroché aux lèvres et un autre quelque chose d'effrayant dans sa démarche. Meiko tremble de peur à sa vu, se demandant ce que peut bien lui vouloir ce vieillard effrayant pour l'avoir enfermé ici.
-Je suppose que tu demandes pourquoi tu es ici joli fleur ? , dit alors le vieil homme d'un ton impérial, et bien c'est simple je te veux pour devenir ma femme.
Meiko manque de s'étouffer et regarde le vieil homme. Comment pouvait-il croire un seul instant qu'elle accepterait. La jeune femme le regarde avec dégout tout et refuse de parler. La jeune blonde n'a pas l'intention de devenir sa femme elle préfère plutôt mourir. Soudain l'homme aux cheveux blancs et au cerveau apparent se met à rire bruyamment et Meiko le regarde avec curiosité.
-Je savais que tu réagirais ainsi, après tout je suis le brillant docteur Géro, dit-il très fier et sur de lui, Mais tu sais quoi ? Je ne te laisse pas le choix, ma jolie je vais te transformer en cyborg et je t'épouserai de gré ou de force.
-Vous ...vous allez me... me transformer en qu...en quoi ?
-En cyborg, en robot si tu préfères.
-Vous n'avez pas le droit de me faire...
Meiko se tait en remarquant que le docteur Géro c'est rapproché beaucoup trop près d'elle pendant qu'ils parlaient. Elle se met à trembler et le regarde avec des yeux de gibier terrifier. Elle ne veut pas devenir un robot, mais avant qu'elle puisse tenter autre chose le vieillard avait posé sur sa bouche un masque rempli de gaz soporifique. Meiko s'endort de nouveau, parvenant quand même les derniers mots du docteur Géro.
-J'ai tous les droits...
Un couvercle ou une porte qui s'ouvre, une main qui tâte son corps pour vérifier que tout est en ordre, voilà les premières sensations que ressent la nouvelle Meiko. En effet la jeune humaine si frêle au multiple souvenir heureux est devenu une cyborg, bien plus forte et à la mémoire embrouillé. Et en ce jour elle ouvre les yeux pour la première fois en tant que cyborg. Un peu perplexe et perdu sur le coup et sans personne pour lui dire ce qui lui arrive. La personne qui a ouvert son sas est apparemment parti ouvrir les couvercles d'autres boites à conserves renfermant sûrement d'autres robots, elle entend d'ici le bruit des couvercles qui s'ouvrent.
Meiko profite qu'il soit loin, pour sortir de sa conserve et s'enfuir de la façon la plus fracassante qui soit, c'est-à-dire en détruisant tout. Elle a peut-être la mémoire sacrément embrouillé Meiko se souvient très bien du dernier épisode qu'elle a vécu avant de devenir ce qu'elle est aujourd'hui et elle se souvient surtout des paroles du docteur Géro. Et une chose est sûre c'est qu'elle ne veut pas devenir la femme de cet homme. Elle ne sait pas où aller, mais quelle importance après tout elle verrait bien.
Et c'est ainsi que pendant plusieurs jours Meiko fuit le docteur Géro. Durant ce voyage elle s'est rendu compte de bien des choses, déjà elle n'as plus aucun besoin humain -la faim, la soif et autre - et elle ne ressent plus la fatigue, le froid ou la chaleur ce qui est un sacré avantage qui lui plaît. Et elle commence à se dire que la vie de Cyborg pourrait lui plaire avec le temps, c'est même une certitude enfin du moment qu'elle ne se retrouve pas de nouveau dans les filets de l'affreux docteur Géro. Cependant, plusieurs fois durant son voyage, elle s'est demandée si le docteur Géro avait fini son travail sur elle. Après tout s'il avait réussi à faire d'elle un robot, pourquoi ne pas lui avoir introduit dans la tête une sorte de carte pour qu'elle tombe amoureux d'elle il pouvait facilement le faire. C'est pour ça que Meiko en est arrivé à la conclusion que le vieillard n'a pas fini son travail sur elle et que donc ce n'est pas lui qui l'a réveillé. Mais alors qui était cette personne qui a ouvert le couvercle de la boite de conserve dans laquelle Meiko était enfermée et pourquoi avait-il fait ça. Meiko se dit qu'elle n'aura sûrement jamais les réponses à ces questions, mais ce n'est pas grave, car désormais elle pourrait vivre sa vie à fond.