Mathena et son renard allait tout les deux à pied vers le temple d’apprentissage passant par la grande et sublime montagne de neige qui le soulevait à son sommet. Ils étaient venaient d’arriver au pied de la montagne, le jeune sayen avait déjà entendu parler d’un périple des milles et une marche. Il s’apprêtait à commencer leur très longue route. Des marches d’escalier emmenaient au sommet, mais elles avaient déjà l’air très mais alors très longue. Il prit un énorme soupire et puis s’avança vers et commença les premiers pas, il allait rapidement avec le renard qui le suivait de plus belle. La neige touffue rajoutait une certaine difficulté à l’exercice car elle le ralentissait en mangeant les pieds du guerrier. Foxxy lui n’avait aucune difficulté il allait très vite, il a surement du déjà passer par là à un moment de sa vie même courte, vu qu’il vient d’ici.

[…]Bientôt les deux compagnons, était à mi-chemin sans presque aucun souci, mais la neige commença à tomber violement, mais il ne devait pas s’arrêter et perdre du temps, ils continuèrent leurs route comme si de rien n’était. Mais chaque minute la tempête de neige s’anonçait de plus en plus, jusqu’à ce qu’ils arrivent à une intensité où la neige avait failli étouffer le jeune renard, et où la visibiliter était impossible. Alors Mathena le prit le mit dans poche, et alla à la recherche d’un abri. Mais en route, un peur l’emplit, il entendait des voix, des bruits … Mais quand il se retournait il ne trouvait rien d’autre que les nombreux arbres semblables. Et à un moment finalement, il aperçut un ours très grand qui se jeta sur lui, le saya-jïn le prit et lui donna un coup de poing qui l’envoya sur le haut d’un arbre où il s’accrocha.

[…] Des heures plus tard, après qu’ils se soient abrités son Foxxy et lui, la tempête avait finalement cessé. Ils sortirent et continuairent leurs route. Apparemment, l’adolescent s’était beaucoup avancé dans sa route lorsqu’il cherchait un abri, car vingt minutes plus tard ils étaient arrivés au temple. Il était grand qui ressemblait quelque peu à l’académie où avait étudié le sayen depuis ces huit ans.