Ombre




Age : Âge inconnu
Planète d'origine : Une planète perdue dans l’immensité de l’espace dont il semble être le seul survivant
Race : Autre race
Spécificités de la race : Votre force se décuple quand vous êtes vraiment en colère et pouvez fuir d'un combat sans qu'on puisse vous poursuivre.
Pourquoi ce pseudo ? : Car c’est le nom, d’un personnage épique d’un roman qui m’a marqué.
Comment as-tu connu le forum : Je suis le DC de Yasha
Avez vous lu le règlement ? (code caché dans le règlement) : J’ai enfin trouvé
Niveau RP : Plutôt bon, j’imagine.




HISTOIRE



Planète Arcana,
Debout au milieu des ruines, une silhouette se tient debout… Elle est seule au monde… Des fragments de mémoire lui reviennent à l’esprit. Il revoit une vieille sorcière et un gamin, un sorcier et une enfant, un jeune homme et une jeune femme qui s’embrassent ainsi qu’une étrange cérémonie et puis plus rien… Et puis soudain, elle se met à rire… A rire aux éclats d’une voix qui semble venir d’outre-tombe… Une voix qui semble lointaine et proche à la fois, une voix qui est double et correspond à celle d’une femme et d’un homme qui rient aux éclats en parfaite synchrone. Nul ne savait ce que cet être était mais il était là et riait d’une façon inhumaine à ne pas comprendre ce qu’il ressentait et pourquoi il était triste. Était-ce un rire de désespoir ? Un rire empli de tristesse ? Nul ne le savait… L’ombre elle-même ne le savait peut être pas… Mais qui est-elle ? Nombreuses sont les histoires qui circulent sur elle et qui ont été contées de sa propre bouche.

N.B.:

- J’étais parti m’amuser dans la forêt malgré les interdictions de mes parents, curieux et assoiffé d’aventures.
- Je m’étais rendu dans la forêt pour réunir les ingrédients de ma potion comme à mon habitude.
- Je ne craignais rien ni personne, j’étais une tête brûlée et aimais piétiner les fleurs arracher les plantes et m’amuser avec les insectes.
- La plante que je recherchais était rare et ne poussait qu’une fois toute dix ans dans cette forêt.
- C’est alors que j’aperçus une fleur qui brillait dans l’ombre d’un arbre, une fleur aux lueurs bleutées…
- C’est alors que je me rendais à l’endroit où poussait cette formidable plante que j’aperçus un jeune chenapan devant mon bien le plus précieux.
- Pendant que j’arrachais cette fleur pour la piétiner, j’aperçus une vieille sorcière au nez crochu non loin de moi.
- Le jeune inconscient l’avait sortie de terre, elle allait perdre ses facultés si je tardais à la récupérer et à concocter ma potion.
- Je regardais la vieille femme avec un air de défi.
- Je lui demandais humblement de me donner cette fleur.
- Préférant ajoutée cette fleur à ma collection de plantes et insectes écrabouillés, je la jetai à terre et la réduisait en morceaux en la piétinant.
- J’étais dans une colère noire et lançais un sortilège qui fit léviter ce sombre idiot qui avait réduit mes espoirs de concocter ma potion d’immortalité en miettes.
- La vieille femme m’immobilisa et m’empêcha de m’enfuir, je ne l’aimais pas…
- Je lui demandais s’il avait une famille…
- Je lui répondais que j’avais un frère et une sœur ainsi que des parents idiots et craintifs qui se préoccupaient de choses inutiles comme les plantes et les insectes.
- Je venais de trouver la punition adéquate à ce sale mioche, je lui lançais un sort le poussant à assassiner sa famille.
- Je reçus une sorte d’éclair qui ne me fit pas grand-chose et put me libérer de l’emprise de la vieille folle, ne me préoccupant pas de ce qu’elle avait bien pu faire, je retournais à ma maison.
- Je dus retourner à ma cabane par delà la forêt et chercher une solution à mon état de faiblesse le reste de la journée.
- L’après-midi se passa normalement à la maison, je jouais avec mes frères et sœurs et tout se passait comme d’habitude, la vieille folle avait dû tenter de me faire peur mais je ne suis pas facilement impressionnable.
- Je pu trouver une solution alors que le soleil se couchait mais cela était risqué car des forces occultes étaient à l’œuvre…
- Lorsque le soleil se coucha et que nous nous mettions à table pour le dîner, je me sentis bizarre comme si ma tête était prise dans un étau.
- Je réunis rapidement les ingrédients et objets nécessaires au rituel ma santé se dégradant au fur et à mesure que le temps s’écoulait.
- D’un seul coup mon bras commença à bouger tout seul, je fus pris d’une peur panique et ne pouvais que hurler ma détresse.
- Les ingrédients étaient réunis et ma vitalité diminuait à grand pas, mon temps était compté, je me rendis au cœur de la forêt en me trainant.
- Tout mon corps était comme possédé, je me saisi d’un couteau et poignardai mon père suivi de ma mère et de mon frère et ma sœur…
- J’étais de plus en plus épuisée tandis que je me rapprochais du lieu d’incantation.
- Les coups de couteau se succédèrent et mes parents ne purent rien faire pour résister à ma furie, je repensais à la vieille sorcière et dès que je pus reprendre possession de mon corps, je courus vers la forêt.
- Je commençais le rituel, avec ma canne je traçais le pentacle et les symboles puis fit un feu en son centre et commençais mon incantation.
- J’apercevais un feu dans l’étendue d’arbres et de plantes et courrais comme un dératé partagé entre le chagrin et la haine.
- J’avais presque terminé mon incantation, une sorte de portail s’ouvrit dévoilant les bras du sombre Hadès monarque des enfers et possesseur du droit de vie ou de mort.
- C’est alors qu’une sorte de portail était ouvert que je vis la sorcière, je lui hurlais dessus armé de mon couteau.
- J’étais surprise de voir le jeune impertinent de ce matin, que faisait-il là ? Il était hors de question qu’il reste, il allait tout gâcher. Je terminais mon incantation et préparais un sort pour le faire dégager.
- Je me ruais alors vers la sorcière et la poignardais juste avant qu’elle ne termine son charabia.
- Cet idiot venait de nous condamner tous les deux.
- Je n’avais pas réalisé l’inconscience de mon geste.

Le sombre monarque saisit les deux malheureux et forma son serviteur immortel, ils périrent tous deux dans une souffrance sans noms mêlant leur sentiments, haine, tristesse et soif de vengeance pour l’un, détresse, empressement et colère pour l’autre. Les deux disparurent et seule une ombre muette resta pleurant la mort de ces deux idiots à la fin tragique et qui avaient tout perdu.



- La vie avait été dure avec moi et j’avais perdu tout ce que je possédais, j’étais jadis un sorcier de talent et reconnu de tous.
- Ma vie était douce avant que je ne sois orpheline, je vivais heureuse auprès de mes parents mais cela ne dura pas longtemps et refusant de vivre à l’orphelinat c’est dans la rue que je finis.
- J’en étais réduit à mendier pour subvenir à mes besoins mais ma vengeance allait bientôt pouvoir s’abattre sur tous ces hypocrites ingrats et décadents !
- Je n’avais pas la force de voler les honnêtes gens et ne pouvait que mendier mais les autres orphelins me volaient et me frappaient quand je me mangeais ce que les âmes charitables me donnaient bien que c’était assez rare.
- La matinée était passée et j’avais réuni suffisamment de pièces pour m’acheter une baguette de pain.
- Je m’étais installée au coin d’une ruelle tendant mes petites mains, le regard dans le vide et mon ventre tiraillé par la faim.
- C’est alors que je repartais que je croisai cette gamine dans l’angle de la rue, elle semblait tiraillée par la faim et était couverte d’ecchymoses.
- Un vieil homme modestement vêtu passait alors avec une baguette de pain, je me disais que c’était sûrement une personne de plus qui ne me verrait pas et passerait son chemin.
- Son regard était vitreux et je pouvais sentir en elle une tristesse très profonde, je coupais alors un morceau de ma baguette et lui offrait.
- Le vieil homme m’offrit un morceau de baguette mais je lui fis non de la tête. J’allais encore me faire battre par les autres enfants de la rue et à choisir, je préférais avoir faim.
- Je lui ordonnais alors de manger ce morceau de suite et de déguerpir.
- Le grand père savait se faire écouter, je ne pus rien faire d’autre que me résoudre à manger le quignon qu’il m’avait donné mais ne pus me résoudre à partir.
- Je passais alors mon chemin après m’être assuré qu’elle avait mangé et retournait dans la maison abandonné dans la plaine.
- Je suivis alors le vieil homme intriguée et voulait faire quelque chose pour le remercier. Une fois dans la plaine, je le suivis discrètement jusqu’à une maison abandonnée et retourna dans la plaine cueillir des fleurs sauvages pour lui faire une couronne.
- Je passais le reste de l’après midi à préparer mon sortilège le plus malfaisant et le plus noir qui puisse exister.
- J’avais passé des heures à confectionner ma couronne pour le vieux monsieur à la longue barbe blanche et le soleil se couchait quand je décidais de retourner à sa maison.
- Le soleil s’était enfin couché quand je commençais mon sort qui avait pour rôle d’absorber la vie de tous ces snobs du village et de la restituer en moi, j’allais leur voler leurs vies tout comme ils avaient volés la mienne.
- Il y avait une étrange de lumière qui venait des ruines de la maison. J’espérais que le monsieur était encore là et qu’il accepterait que je reste auprès de lui.
- Le sort était presque terminé quand soudain la petite fille de ce matin se précipita vers moi. Mais qu’est-ce qu’elle foutait ? C’est alors que j’aperçus sa couronne de fleur. Quelle petite idiote ! Je lui sommais de déguerpir avant qu’il ne soit trop tard.
- Il me repoussa sur un ton plein de colère mais je ne voulais pas le lâcher, il avait été le seul à être gentil avec moi.
- C’est alors que le sort se déferla sur le village et nous heurta tous les deux. Je regardais tristement la jeune fille et me disait que c’était bien la seule personne que j’aurais voulu épargner de ce sort.
- Je regardais alors le vieux monsieur et tandis que  mon corps commençait à disparaitre, je disais la première chose qui m’étais venu à l’esprit « Je voulais juste… ne plus être seule… ».
- Les derniers mots de la petite fille me firent verser une larme et franchirent la barrière de haine que j’avais formée autour de mon cœur. Je souriais tendrement à l’enfant tandis que mon être disparaissait lui aussi. Cette formule n’avait été créée que pour servir un seul être et non deux.

Lorsque le sort se termina, il ne resta qu’une ombre qui avait conservé l’esprit de la gamine et du sorcier. La jeune fille n’était plus seule et le sorcier se retrouvait lié à la seule personne qu’il avait appréciée mais tous les habitants du village finirent en tas de cendres dispersé par le vent aux quatre coins du monde.



- Une bataille faisait rage et je me battais pour que la suprématie des sorciers soit assurée sur ces femelles perfides, calculatrices et froides.
- Je me battais contre l’homme qui avait brisé mon cœur, ce vieux fou avait choisi de se battre pour que règne uniquement les hommes sur le monde la magie, je ne comptais pas le laisser faire.
- Et dire que celle que j’affrontais était mon épouse, je l’aimais énormément mais il fallait qu’elle s’interpose à chaque fois que je voulais participer à un acte qui allait marquer l’histoire de la magie.
- J’avais aimé de tout mon être ce vieux fou et voilà qu’il était à présent mon ennemi juré dans cette guerre pour la suprématie d’un sexe sur la magie.
- J’étais loin de me douter que je finirais ma vie en l’affrontant, j’aurais préféré être à ses côtés mais cette guerre avait embrasée mes convictions et fait renaître mon envie d’entrer dans l’histoire.
- Ce pauvre fou avait choisi ses ambitions plutôt que moi… Il allait le regretter et me le payer très cher !
- Je vis une lueur sombre dans les yeux de celle que j’affrontais, je compris rapidement ce qu’elle allait faire et tenta de retourner le sort contre elle.
- Ce pauvre fou scanda mon incantation en même temps que moi, il venait de tous nous condamner.
- Je me suis dis que j’allais périr avec celle que j’aimais et qu’il n’y aurait sûrement aucun survivant à cette guerre des sexes.
- Cet idiot avait oublié un léger détail quand nos sorts s’entrechoquèrent, il allait provoquer la fin de ce monde.

Les invocateurs de la formule furent touchés en premier par celle-ci, puis elle s’étendit sur tout le champ bataille. L’esprit de tous les hommes rejoignit celui du sorcier et la sorcière hérita de ceux des femmes mais pire que tout le sort réunit les deux êtres aimés ainsi que l’esprit de ceux qu’ils avaient annihilé en un seul corps. Un être difforme nimbé de ténèbres à la voix double du couple consumé par le chaos. Il ne resta finalement qu’un mage aux grands pouvoirs mais dont l’esprit était si chaotique qu’il en perdit tous ses souvenirs. Seul resta quelques bribes du couple qui était à présent forcé de coexisté dans le même corps avec le fardeau des âmes qu’ils avaient absorbées.



- J’étais en train de mettre au point une machine qui allait révolutionner les voyages spatiaux et la conception que nous avions l’univers.
- Mon époux et moi allions prouver qu’il était possible de manier les propriétés de la matière noire.
- Mais c’était sans compter sur notre collègue Marc qui je soupçonnais d’être épris de ma femme et jaloux de moi.
- Alors que la démonstration approchait, je faisais part à mon chéri que j’avais un mauvais pressentiment…
- J’étais pressé et je voulais que tout le monde découvrir ce que la science pouvait accomplir.
- Je lui demandais de repousser la démonstration et de vérifier que tout est en ordre, histoire d’être sûr que tout se passerait bien.
- Je refusais en bloc et tenais à prouver à tous le lendemain de quoi nous étions capables.
- Le lendemain la démonstration eut lieu en plein centre-ville, j’avais un très mauvais pressentiment et mon époux ne semblait pas m’entendre.
- La démonstration allait commencer et tout le monde était présent, il y avait toute l’équipe de projet avec laquelle nous avions travaillé. J’avais une confiance absolue en notre travail. Mais lorsque je mis en route la machine à déformer la matière noire, il se passa quelque chose d’étrange, la matière noire ne réagit pas comme elle le devait et la machine commença à surchauffer.
- Comme je le craignais la machine avait été sabotée. Je me mis aux commandes et essayais de la paramétrer à nouveau et invita mon époux à rejoindre l’autre clavier et chercher où se trouvait l’anomalie.
- La machine s’emballait et le temps pressait mais le mot de passe pour accéder aux paramètres de visualisation de l’état de la machine avait été modifié. Je fis signe à ma femme que toutes mes tentatives de mot de passe échouaient.
- Le stade de la machine devenait critique et la matière noire virevoltait dans tous les sens affolant le public et les chercheurs. C’est alors qu’elle perça la cuve et devint totalement incontrôlable. J’eus le réflexe de me ruer dans les bras de mon époux et de m’excuser.
- Ma femme se jeta dans mes bras quand la machine devint hors de contrôle et irrécupérable. Je la réconfortais comme je pus et lui présenta mes excuses. C’est elle qui avait raison.

La matière happa le couple qui s’embrassait langoureusement au moment où tout était perdu, puis s’étendit jusqu’à l’ensemble de la ville avant de se rétracter en son centre où se trouvait le couple et de former un être nimbée de ténèbres. Ce dernier portait en lui l’existence de toute une ville et partageait l’esprit du couple de scientifiques.



A peine étions-nous né que plusieurs voix raisonnèrent dans nos têtes et nous ordonnèrent de massacrer les habitants de cette planète. Ces voix étaient nos maîtres, les ténèbres et elles nous avaient sommés de tuer toutes ces pitoyables créatures… Nous ne pouvions faire autrement, nous étions comme possédés par les ténèbres. Qu’étions-nous en train de faire ? Nous ne nous souvenions plus de qui nous étions et du but de notre venue au monde… Cela était sensé être quelque chose d’important… Mais quoi ?

Pendant le massacre, nous ne pouvions refouler un sentiment qui grondait en nous, une sorte de malaise qui s’amplifiait à chaque vie fauchée et puis… Nous fîmes disparaître toutes ces créatures qui ressentaient la peur, le désespoir et la tristesse. A ce moment, nous ne pûmes nous empêcher de rire… rire aux éclats tout en versant des larmes… Mais pourquoi ? Pourquoi ce sentiment d’échec ? Pourquoi cette douleur ? Pourquoi n’arrivions nous pas à nous souvenir ? Pourquoi n’étions nous pas un être normal ? Pourquoi cette voix double ? Pourquoi change-t-elle ? Pourquoi est-ce que nous souffrions tant ? …

Nous ne comprenions pas et nous étions seuls… désespérément seuls sur cette planète qui  nous avait vu naître. C’est alors qu’elles nous reparlèrent… Les ténèbres… Elles étaient nombreuses, nous ne savions pas combien elles étaient mais quatre d’entre elles se présentèrent et nous apprîmes à bien les connaître.

Celles qui nous avaient ordonnées de détruire ces misérables créatures étaient les ténèbres prédatrices, les plus redoutables que nous connaissions, ces ombres qui vous font trembler dans l’obscurité la plus totale et qui vous rappellent à quel point vous tenez à votre pitoyable vie.

Elles n’avaient pas été les seules à nous encourager à commettre ce massacre, les ténèbres de la chasse s’en étaient mêlées aussi et prenaient plaisir à voir ces êtres fuirent et à les voir être écrasés sans remords par notre puissance nouvellement acquise.

Celles qui nous touchaient en ce moment de leurs mains froides étaient les ténèbres de la solitude. Elles étaient plus froides que les planètes sans soleil et plus glaciales que la mort elle-même. Elles nous faisaient prendre conscience que nous étions à présent seuls face à nous-mêmes et à nos actes irréfléchis.

Et finalement vint les ténèbres protectrices, celles qui nous englobent de leur voile sombre et nous permirent de devenir cette ombre. Ces ténèbres réconfortantes nous apportèrent réconfort et nous promirent qu’une aventure sans pareille nous attendait et que nous pourrions retrouver la mémoire, si nous le souhaitions même si cela pouvait être désagréable.

Nous acceptions car nous voulions désespérément savoir ce que nous étions et nous souvenir. Lorsque nous aperçûmes notre apparence sous ce voile de ténèbres, nous décidâmes d’embrasser l’obscurité des ténèbres protectrices et de masquer aux yeux de tous ce que nous étions.



DESCRIPTION PHYSIQUE


A quoi ressemble votre personnage ? Comment s'habille-t-il ?
Nul n’a jamais vu à quoi ressemble Ombre sous sa cape… Certains se demandent même s’il y a un être de chair et d’os sous elle ou si ce n’est qu’un esprit manifesté sous la forme d’une ombre… Ceux qui ont tenté de voir sous sa cape n’ont rencontré qu’illusions sur illusions… Tantôt, il était une jeune femme frêle, tantôt un homme, parfois un vieillard ou une sorcière, l’une découvrit un gamin puis une enfant et enfin… le néant… Tout simplement la profondeur absolue des ténèbres… En plus d’être caché par sa cape, cet étrange personnage à la particularité d’avoir une voix double, telle celle issue d’êtres nés d’une fusion. Sa voix est troublante, elle est à la fois féminine et masculine mais aussi dès fois celle d’un vieil homme et d’une jeune enfant ou d’une vieille femme et d’un gamin…  Nul ne sait qui est vraiment cet être qui se fait prénommer Ombre… Est-ce un humain, un extraterrestre ? Est-il un homme ou une femme ? Est-il âgé ou jeune ? Peut-être que même lui ignore qui il est au fond…

DESCRIPTION MENTALE


Quelle est sa personnalité (qualités, défauts...) ? A-t-il des complexes ?
Il est très difficile de savoir ce que pense Ombre… Si ses histoires son exactes, il serait au minimum double et ses pensées seraient confuses. Il revêt parfois la forme d’un être froid, cruel et dénué de remords… D’autre fois, c’est un être taquin, qui aime provoquer ses ennemis et prend plaisir à les briser. Cet être semble à première vue malsain mais nul ne sait ce qu’il cherche vraiment et qui est réellement  le maître qu’il sert. C’est un être mystérieux parfois calme parfois psychotique. Il dit qu’il est guidé par les ténèbres et qu’il est lui-même les ténèbres. Cet être porte une longue cape et ne dévoile jamais son visage qui reste perpétuellement plongé dans les ténèbres de sa capuche. Il se fait surnommer Ombre et est un mentaliste talentueux. Nul ne sait quel est son véritable passé… Il en invente un différent à chaque fois… Cependant aux yeux de beaucoup, il est un schizophrène instable et dangereux.

© Never-Utopia et éditée par Plumeau et Yasha/Ombre