Une petite guerrière qui s’impatiente

Sujet: Une petite guerrière qui s’impatiente Mer Nov 13, 2013 2:14 pm

Son Pan

L'entrainement, encore l'entrainement et toujours l'entrainement ! C'était ça ma vie. Tout le monde reposait ses espoirs sur moi pour être la prochaine génération de combattants qui protègeraient la terre. Tant de pression et de responsabilités sur mes épaules d'enfants ? Pas du tout, j'adorais ça moi, un jeu très amusant que de développer son pouvoir pour pouvoir aller me battre contre des gens forts comme Grand père et Papa !

Je m'étais isolée dans une contré rocheuse assez loin de la maison. Tout le monde savait que j'avais tendance à tout casser autour de moi quand je m'entrainais, on ne fait pas vraiment attention quand on s'amuse. Ceci-dit c'était beaucoup moins drôle de se battre contre des ennemis invisibles. Trop facile, aucun chalenge. Quand grand père était là cela avait toujours été bien plus dole.

Je ne m'entrainais pas beaucoup avec Papa non plus, il ne s'entrainait pas beaucoup non plus tout court d'ailleurs. Cela ne l'amusait pas du tout. Son truc à lui c'était les livre, les choses intellectuelles compliqué ... A mon gout faire sauter un Rocher avec un Kikoha avait un intérêt nettement supérieur, mais chacun son truc.

Je sautai droit devant moi et envoyai mon poing vers la formation rocheuse d'en face. Il enfonçai dans la roche, creusant un profond cratère en faisant trembler l’édifice naturel. J'ouvris la mains sans la retirer du rocher et envoyai une décharge d'énergie qui passai au travers sans mal pour aller faire sauter un autre rocher derrière.

Détruire des rocher c'est marrent deux minutes ...

Je commençais à m'ennuyer. C'était trop impersonnel, ces entrainements solitaires manquaient vraiment d'âme. J'avais besoin d'un partenaire ... à vrais dire je me sentais seule. Je n'avais aucune vie social, je n'étais pas comme les autres terrienne. J'étais spécial, mon sang de Sayen me rendais différant, supérieure à eux dirait certaines personnes, mais cela faisait peur au autres gens. Je devais vivre sans ça, sans amis. J'avais bien ma famille, mais j'en avais vite fait le tours.

Je décollai et pris mon envole, finalement ce n'était plus si dole. peu être allait t'il se passer quelque chose de plus intéressant ailleurs ?